Performax avis : mon retour après 3 semaines de test sans filtre

juillet 21, 2025

Performax avis

Je vais pas te mentir, quand j’ai vu le nom “Performax”, j’ai d’abord levé un sourcil. J’ai cru que c’était encore un de ces compléments qu’on trouve au détour d’une pub Instagram, avec une promesse vague et un packaging un peu trop viril pour être honnête. Et puis j’ai vu que c’était distribué par la Boutique du Bleuet de France. Ouais, tu sais, le truc un peu officiel, un peu patriote. Je me suis dit : “Ok, on va voir ce que ça donne, mais je reste sur mes gardes.”

À la base, je cherchais pas spécialement à booster ma testostérone ou ma virilité comme les pubs te le vendent en mode “sois un mâle alpha et pousse 150kg au développé couché après 2 gélules.” Ce que je voulais, c’était retrouver un peu plus d’énergie. J’ai eu une phase, ces derniers mois, où je me sentais un peu mou, un peu en vrac. Pas de vraie fatigue clinique, mais ce truc diffus, un fond de lassitude, genre t’es jamais vraiment à 100%. Le genre de moment où tu procrastines beaucoup, tu repousses les trucs, et tu te réveilles sans vraiment savoir ce que t’as envie de foutre de ta journée.

Alors j’ai tenté. J’ai commandé Performax, j’ai attendu le colis en me demandant dans quoi je m’étais embarqué, et j’ai démarré une cure de trois semaines. Spoiler : j’ai pas vu venir certains effets. Et pas toujours dans le sens attendu.


Avant le test : j’étais pas au top, mais pas non plus au fond du trou

Quand j’ai lancé la cure, j’étais dans un entre-deux chelou. Pas malade, pas déprimé, mais clairement en dessous de ma forme habituelle. Je bossais beaucoup sur drogbox.fr, je passais mes journées à fouiller les forums, lire les compositions des produits que je voulais tester, rédiger du contenu, répondre à des messages privés sur Insta de mecs qui me demandaient si tel ou tel complément valait le coup… Et honnêtement, j’avais plus de jus. Je dormais mal, je faisais plus de sport, j’avais perdu un peu de masse (rien de dramatique mais bon, quand t’es censé incarner un minimum la prévention, t’essaies de rester crédible physiquement aussi).

J’ai hésité avant de prendre Performax, parce que je me méfie de tout ce qui joue sur les hormones ou le métabolisme. J’avais testé d’autres produits avant, genre des boosters à base de maca ou de ginseng, mais j’avais toujours eu l’impression qu’on me vendait du vent aromatisé en gélule. Là, ce qui m’a fait pencher, c’est la promesse globale : plus de vitalité, plus de performance physique et mentale, une action sur la libido aussi, mais sans tomber dans le cliché du “pilule magique pour bander plus fort.” Et puis le côté “produit français” m’a rassuré, j’avoue.


Premier contact : goût neutre, packaging sobre, ça fait pas dans le bling

Quand j’ai reçu la boîte, j’ai apprécié un truc direct : ça fait pas cheap. Pas de photo de torse huilé ou de logo en feu. C’est simple, propre, limite pharmaceutique. Tu sens qu’on veut te rassurer. Et franchement, ça m’a fait du bien. Je suis tellement habitué à recevoir des produits criards, aux slogans borderline, que là j’ai eu l’impression de sortir d’un piège à pigeon.

Côté composition, j’ai pris le temps de lire : zinc, vitamine B6, maca, L-arginine, L-citrulline, tribulus terrestris, ginseng… Du classique, mais bien dosé sur le papier. Rien de complètement révolutionnaire, mais un bon mix pour agir sur la vitalité, la circulation sanguine, le tonus global.

Les gélules sont grosses mais faciles à avaler. Pas d’arrière-goût dégueu, pas d’odeur suspecte. J’ai commencé à les prendre le matin, à jeun, avec un grand verre d’eau. Deux par jour, comme recommandé. Et j’ai attendu de voir si ça allait me coller un coup de fouet ou juste me filer des gaz, comme certains autres trucs que j’ai testés…


Les premiers jours : rien de fou, mais un petit truc dans le fond

La première semaine, je vais pas te vendre du rêve. J’ai pas eu d’éclair de génie, pas de regain d’énergie brutal. Mais j’ai noté un détail : je me réveillais un peu plus frais. C’est subtil, mais quand tu connais bien ton corps, tu sens ce genre de micro-différences. Avant, j’avais du mal à sortir du lit, je restais sur Insta 20 minutes avant d’oser me lever. Là, au bout de trois jours, j’avais l’impression d’avoir un peu plus de “pêche” dès les premières minutes.

J’ai aussi recommencé à faire un peu de sport, très léger. Juste des pompes, des tractions, des abdos. Pas parce que je m’étais transformé en Terminator, mais parce que j’avais envie. Et cette envie, je l’avais perdue depuis plusieurs semaines. Est-ce que c’est psychosomatique ? Peut-être. Est-ce que je m’en fous si ça me fait du bien ? Clairement.

Niveau digestion, aucun souci. Pas de nausées, pas de sensation de lourdeur. Et ça, c’est rare. J’ai déjà testé des produits où j’avais l’impression de me trimballer une enclume dans le bide toute la journée. Là, c’était clean.


Deuxième semaine : j’commence à me sentir “moi, mais en mieux”

C’est au bout de 10 jours que j’ai vraiment senti une différence. Déjà, j’étais plus productif. Pas genre focus comme si j’avais pris un modafinil, hein. Mais je procrastinais moins. Je passais moins de temps à réfléchir avant de faire les trucs. Je me posais devant mon ordi et je rédigeais. Sans trop me disperser.

J’ai aussi mieux dormi. Et ça, je m’y attendais pas. Je pensais que ça allait me booster le jour, pas que ça allait apaiser mes nuits. Mais j’ai remarqué que je m’endormais plus vite, je me réveillais moins. Une nuit, je me suis même réveillé en pleine érection. Et j’te dis pas ça pour me la raconter, mais parce que c’était un signe que le système était un peu plus actif que d’habitude. Libido plus présente, sans être dans l’excès. Juste une vitalité sexuelle normale, saine.

J’en ai parlé à mon pote Léo. Il me connaît, il sait que je teste plein de trucs. Il m’a demandé si je me faisais des films ou si ça marchait vraiment. Je lui ai dit : “Frérot, c’est pas miraculeux, mais ça fait le taf. Doucement, mais sûrement.” Il a commandé direct. C’est souvent comme ça que ça part, les recommandations entre potes, surtout quand on se dit les vraies choses.


Troisième semaine : l’effet plateau, mais toujours ce fond de solidité

Vers la fin de la troisième semaine, j’ai pas senti d’amélioration supplémentaire. L’effet s’est stabilisé. Mais c’est pas un mal. J’étais pas en mode super-héros, mais j’étais bien. Stable, réveillé, présent. J’ai repris un rythme de sport plus régulier, j’ai mieux géré mes mails, mes deadlines, mes échanges pros.

J’ai pas ressenti d’effets secondaires. Pas de palpitations, pas d’irritabilité, rien. Et ça, c’est vraiment un bon point. Parce que sur d’autres produits testostérone-friendly, j’ai parfois senti que ça me rendait nerveux, plus tendu. Là non. C’est resté clean.

Je dirais même que Performax agit plus comme un rééquilibrant que comme un booster violent. C’est un peu comme si ça me ramenait à mon niveau “normal” de forme, sans me propulser dans le surhumain. Et en vrai, c’est peut-être ça qu’on cherche au fond : pas exploser, mais juste retrouver sa base.


Mon avis sur Performax : honnêtement, c’est une bonne surprise

Bon, maintenant que j’ai fini la boîte, je peux te donner mon verdict sans filtre. Performax, c’est pas une pilule magique. Si tu t’attends à des transformations radicales, tu vas être déçu. Mais si tu cherches un coup de pouce discret, un fond d’énergie plus stable, une libido un peu relancée, un mental plus net… ça fait le boulot.

Ce que j’ai aimé, c’est l’absence d’effets chelous. Le produit est stable, sobre, sans artifices. Il coche les cases de la vitalité sans s’envoler dans le bullshit marketing. J’en ai parlé aussi avec une fille que je fréquente, elle m’a dit qu’elle m’avait trouvé “plus posé, plus dispo”. C’est subjectif, mais ça colle à mon ressenti.

Est-ce que je recommande ? Oui, mais pas à tout le monde. Si t’es déjà au taquet, que tu dors bien, que tu fais du sport, que t’as pas de souci de motivation, t’en as peut-être pas besoin. Mais si t’es dans une phase un peu floue, un peu molle, ça peut te filer un petit socle. C’est pas spectaculaire, mais c’est solide.


Ce que je ferais différemment si je recommençais

Si je devais refaire une cure, je la couplerais avec une vraie routine de sport. Là, j’ai repris doucement, mais j’ai pas exploité tout le potentiel du produit, je pense. J’aurais aussi dû monitorer mon sommeil plus sérieusement, avec un tracker, pour objectiver un peu plus.

Et j’éviterais de le prendre à jeun. Même si j’ai pas eu de souci, je pense que ça passe encore mieux avec un petit-déj ou au moins un fruit. Juste pour la digestion.

Je le conseillerais à mes potes qui ont un taf exigeant, ou qui sortent d’une période de fatigue. Pas comme un dopant, mais comme une base saine pour repartir.


Fiche produit Performax (à titre informatif)

Nom du produit : Performax
Ingrédients clés : Maca, Ginseng, Tribulus Terrestris, Zinc, L-arginine, L-citrulline, Vitamine B6
Effets annoncés : Vitalité physique et mentale, soutien de la libido, amélioration des performances
Posologie réelle : 2 gélules par jour, de préférence le matin
Prix / durée : 29,90 € pour une boîte de 60 gélules (1 mois de cure)
Fabricant : Boutique du Bleuet de France
Cible : Hommes à partir de 18 ans, actifs, en quête de tonicité et d’équilibre

Maxime

Article rédigé par maxime

Je m'appelle Maxime, j'ai 25 ans. Mon objectif ? Prévenir les risques liés aux addictions et aider ceux qui veulent s’en sortir. Chaque jour, j’échange avec des jeunes pour déconstruire les idées reçues sur la drogue et proposer des alternatives saines. Mon approche est simple : écoute, bienveillance et solutions concrètes.

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