J’vais pas te mentir, la mémoire et moi, on fait pas toujours bon ménage. J’ai beau avoir 25 ans, un cerveau censé carburer plein pot, et une vie assez bien organisée, y a des moments où j’ai l’impression que ma tête se transforme en passoire. Tu sais, ces moments où tu ouvres ton frigo sans savoir pourquoi, ou pire, quand tu lances une phrase et que tu oublies direct ce que tu voulais dire. C’est pas dramatique, on est d’accord, mais quand ça devient récurrent, ça fout le doute.
C’est dans cet état d’esprit que je suis tombé sur Mémo 360. Je connaissais déjà Biovancia de nom, parce que pas mal de potes avaient testé leurs trucs pour les articulations ou le sommeil. Moi, j’ai toujours été un peu méfiant avec ces compléments. J’me dis souvent que c’est plus du marketing bien ficelé que de la vraie efficacité. Mais j’te cache pas que le nom “Mémo 360”, ça m’a intrigué. Genre t’as l’impression que le produit va te redonner un cerveau de moine shaolin, capable de se souvenir de chaque mot que t’as lu la veille.
Et comme à cette période, j’étais dans une phase de grosse charge mentale – entre mes projets sur drogbox.fr, la paperasse pour les partenariats, mes tests produits à organiser, et des trucs persos qui me pompaient l’énergie – j’ai décidé de le tester. Pas sur un coup de tête, mais pas non plus en mode super rationnel. Juste un “allez, on tente”. Un peu comme quand tu commandes un plat inconnu au resto parce que t’es curieux. Et là, j’te raconte tout.
Mon état d’esprit et mon niveau mental avant de commencer
Avant de lancer Mémo 360, j’étais clairement pas au top de ma forme mentale. Physiquement, ça allait. Je mange plutôt équilibré, je fais un peu de sport (même si les séances boxe ont un peu sauté cet été à cause d’un mollet en vrac), mais côté concentration… c’était le flou.
J’avais du mal à rester focus plus d’une heure sans décrocher. Je lançais des vidéos YouTube “en fond”, je scrollais Insta pendant mes recherches, j’ouvrais 10 onglets à la fois. Le multitâche me tuait. Et plus je le faisais, plus j’oubliais les trucs simples. J’en étais à me faire des rappels pour des trucs aussi basiques que “envoyer un mail à Thomas”.
Je dormais pas trop mal, mais je me réveillais souvent la tête lourde. Pas de cauchemars, juste l’impression de ne pas avoir “nettoyé” mes pensées. Mon cerveau tournait en boucle la nuit sur ce que j’avais pas fini la journée d’avant. Un pote m’a même sorti : “T’as une tête de bug de Matrix, gros”. Bref, le contexte était pas idéal.
Et c’est pile dans cet état que j’ai commencé le test. Avec beaucoup de scepticisme, mais aussi un fond d’espoir. J’attendais pas des miracles, mais si ça pouvait juste me filer un petit coup de pouce pour clarifier les idées, retrouver un peu de mémoire de travail, ce serait déjà pas mal.
Le jour où j’ai reçu le Mémo 360 chez moi
Quand le colis est arrivé, j’étais à moitié excité, à moitié blasé. Excité parce que j’aime bien découvrir des nouveaux produits. Blasé parce que je m’attendais à un énième flacon de gélules marron qui sentent les plantes et qui finissent au fond du placard.
Niveau packaging, c’est sobre, assez “pharma” dans le style. Pas de couleurs flashy, pas de promesses bullshit en énorme sur l’étiquette. Juste “Mémo 360”, et une liste d’ingrédients assez costaude. Y a de la Bacopa monnieri, du Ginkgo biloba, du Zinc, de la vitamine B5, de la L-Tyrosine… et même du Safran, ce qui m’a surpris. C’est pas tous les jours qu’on voit du Safran dans un complément pour la mémoire.
Je l’ai ouvert direct pour voir l’odeur. Ça sentait un peu la plante séchée, mais pas au point de donner la gerbe. Les gélules sont assez classiques. Pas énormes, faciles à avaler, ce qui est cool, parce que j’ai testé des trucs avant (je pense à un nootropique américain chelou) où t’as l’impression de bouffer un suppositoire.
Je lis la posologie : deux gélules par jour. Rien de compliqué. Je décide de les prendre le matin, à jeun, avec un grand verre d’eau. J’me dis que c’est le meilleur moment pour laisser les actifs agir pendant la journée. Et c’est là que le vrai test a commencé.
Les premiers jours : entre espoir et mode radar
Les trois premiers jours, j’étais à l’affût du moindre effet. Je prenais les deux gélules en me demandant “Est-ce que je vais être plus vif aujourd’hui ? Est-ce que je vais me souvenir de plus de trucs ?”.
Mais j’vais être honnête : les deux premiers jours, RAS. Nada. Zéro. Mon cerveau était aussi brumeux qu’avant. J’avais toujours cette fatigue cognitive en fin de journée, cette difficulté à trouver mes mots parfois quand je parlais. Je me suis même demandé si j’avais pas chopé un truc genre carence en fer, tellement j’étais lent.
Je commençais déjà à douter. Un soir, j’en ai parlé à une pote pharmacienne. Elle m’a dit : “Max, les plantes adaptogènes comme la Bacopa, ça agit pas en 2 jours. C’est un effet de fond, pas un shoot instantané”. Bon, ça m’a rassuré. J’ai continué le test.
Et puis, au bout du quatrième ou cinquième jour, j’ai eu une petite sensation bizarre. Rien d’explosif, mais une impression de “lucidité”. Comme si mon cerveau était moins englué. J’arrivais à faire mes tâches les unes après les autres sans trop procrastiner. J’ai pu finir un article d’une traite, sans pause TikTok. C’était peut-être un coup de bol, mais j’ai noté le truc dans mon carnet.
Deuxième semaine : le cerveau sort du brouillard (doucement)
C’est vraiment pendant la deuxième semaine que j’ai commencé à sentir des changements. Et je dis bien sentir, parce que c’est pas le genre de produit où tu vois un avant/après flagrant. C’est subtil. Mais réel.
Déjà, j’avais plus cette sensation de surcharge dans la tête en fin de journée. Je pouvais bosser 4 heures d’affilée sur drogbox, répondre à mes mails, planifier mes prochains tests, et j’étais encore fonctionnel après. Pas frais comme un gardon, mais pas vidé non plus.
J’ai aussi remarqué un truc marrant : j’avais plus de souvenirs “fluides” de mes journées. Tu vois, quand tu relis une note le soir, et que tu te rappelles pourquoi tu l’as écrite, où tu étais, avec qui t’as parlé de ce sujet. Avant, c’était plus décousu. Là, c’était plus net.
Côté sommeil, je dormais mieux aussi. Pas forcément plus longtemps, mais mieux. Genre, plus de réveils au milieu de la nuit pour des pensées random. Je fermais les yeux, et je dormais. Profondément. C’est sûrement lié au Safran, qui est connu pour réguler un peu l’humeur et le stress. Et je te jure que j’étais moins irritable. Même dans les embrouilles habituelles genre les transports ou les bugs de mon site, je prenais les trucs avec plus de recul.
Ce que j’ai vraiment retenu du test Mémo 360
J’vais pas tourner autour du pot : Mémo 360, ça m’a surpris. Pas parce que j’ai eu des performances de ouf genre “je retiens 100 décimales de Pi”, mais parce que ça m’a réconcilié avec une partie de moi que j’avais négligée : mon calme mental.
Tu sais, dans la société actuelle, on est bombardés d’infos, de sollicitations, de push, de réseaux. C’est hyper dur de garder la tête claire. Et moi, je suis le premier à foncer dans ce piège. Mais avec Mémo 360, j’ai eu cette impression de pouvoir ralentir mes pensées sans les perdre. De pouvoir penser une idée jusqu’au bout sans me disperser.
Est-ce que c’est placebo ? Franchement, j’ai réfléchi à cette question plein de fois. Et j’crois que c’est un mélange. Y a peut-être un petit effet placebo dans le fait de prendre un complément chaque matin, comme un rituel. Mais je pense pas que le fond soit placebo. Les actifs sont bien dosés, et j’ai senti des effets trop cohérents pour que ce soit juste psychologique.
Le seul truc qui m’a un peu refroidi, c’est le prix. On est sur un produit premium. Environ 69 € la boîte pour un mois. Ça pique. Mais quand je compare avec les nootropiques américains hors de prix ou les shots de caféine que j’ai testés avant, je me dis que c’est pas déconnant si t’as un vrai besoin.
À qui je recommande Mémo 360 (et à qui je déconseille)
Est-ce que je recommande Mémo 360 ? Oui, mais pas à tout le monde. Si t’as juste un coup de mou parce que t’as mal dormi une nuit, passe ton tour. Va faire une sieste, bois un thé vert, et ça ira. Par contre, si t’es comme moi, que tu vis une période où ta tête est surchargée, que t’as du mal à structurer tes idées, que t’oublies des trucs simples, là, ça peut clairement t’aider.
Je le conseillerais aussi aux étudiants en période d’exam, ou aux jeunes actifs qui gèrent des projets, des réunions, du stress. Pas comme un produit miracle, mais comme un soutien naturel, sur quelques semaines. Pas plus.
Je le déconseillerais aux gens qui veulent une solution immédiate, genre avant un entretien ou un match important. C’est pas un booster. C’est un stabilisateur. Et ça demande un peu de patience.
Conclusion : est-ce que je vais continuer ? Et si c’était à refaire ?
Aujourd’hui, ça fait un mois que j’ai fini la boîte. Et honnêtement, je pense refaire une cure dans deux mois, à l’automne, quand le cerveau recommencera à saturer avec la reprise. J’ai pas eu d’effet secondaire, aucun souci digestif, aucun coup de barre. Juste une sensation de mental plus “aligné”.
Si je devais refaire le test, je pense que je le ferais dans une période encore plus intense, avec des deadlines ou des voyages. Pour voir comment ça tient en conditions extrêmes. Et je me mettrais peut-être une alarme pour ne jamais oublier la prise. Parce qu’il m’est arrivé de sauter un jour ou deux sans m’en rendre compte.
Mon avis final sur Mémo 360 ? Positif. Sincèrement. C’est pas une baguette magique, c’est pas un produit miracle. Mais c’est un vrai allié pour les moments où ton mental part dans tous les sens et que t’as besoin de le remettre à sa place. Et ça, dans la jungle mentale d’aujourd’hui, c’est déjà énorme.
Fiche produit – Mémo 360
Nom complet : Mémo 360
Ingrédients principaux : Bacopa Monnieri, Ginkgo Biloba, L-Tyrosine, Vitamines B5 et B6, Zinc, Safran
Effets annoncés : amélioration de la mémoire, soutien de la concentration, meilleure clarté mentale, réduction du stress oxydatif
Posologie réelle : 2 gélules par jour, de préférence le matin
Prix & durée : environ 69 € pour une boîte de 60 gélules (30 jours)
Fabricant / Origine : Biovancia, laboratoire français
Public cible : jeunes actifs, étudiants, personnes en surcharge mentale ou en période de stress cognitif
