Energya avis : mon retour après 30 jours sans triche, sans filtre

août 22, 2025

Energya avis : mon retour après 30 jours sans triche, sans filtre

J’vais pas te mentir, j’ai pas mal hésité avant de me lancer dans le test d’Energya. C’est le genre de produit qui te promet la lune avec des mots comme “énergie cellulaire”, “performance durable”, “fatigue réduite” et tout le blabla qui va avec. Et comme d’hab, ça vient de Biovancia, donc forcément t’as cette image de gélules premium, bien marketées, souvent prises par des quadras ou des quinquas stressés. Sauf que moi, j’ai 25 ans, je bosse sur mon site drogbox.fr, je dors peu, je teste des produits chelous, et parfois j’oublie même de boire de l’eau pendant 10 heures. Donc ouais, la fatigue, je connais. Mais est-ce qu’un complément peut vraiment changer quelque chose à mon quotidien ? Voilà ce que j’avais envie de savoir. Et je l’ai pris au sérieux.

Je l’ai pris tous les matins, pendant un mois. Pas une fois j’ai oublié. Et crois-moi, avec mon rythme, c’est déjà un exploit en soi.


Avant Energya : un quotidien flingué par la fatigue nerveuse

Avant de tester Energya, j’étais clairement dans un mauvais cycle. Pas de déprime noire, pas de burn-out, mais une fatigue d’arrière-plan. Le genre de truc que t’apprends à ignorer. Tu te lèves, t’es déjà dans le rouge. Tu bosses quand même. T’essaies de gérer tes mails, les réseaux, tes tests produits, les appels, les rendez-vous, et à la fin de la journée, t’as rien vu passer. Pourtant t’as pas l’impression d’avoir été efficace. Et le pire, c’est que le soir venu, impossible de dormir tôt. Cerveau en boucle. Tu scrolls. Tu penses à tout ce que t’as pas fait. Et t’enchaînes.

Physiquement, j’étais pas en mode larve non plus. Je bouge pas mal, je vais courir un jour sur deux, je fais attention à ce que je mange – enfin, la plupart du temps. Mais niveau mental, j’étais clairement à la peine. Pas de concentration longue, des pics d’énergie suivis de grosses baisses, et surtout une flemme constante. Une inertie.

C’est pour ça que le pitch d’Energya m’a parlé. Pas juste “plus d’énergie” façon caféine artificielle, mais un truc plus profond, plus stable. Genre un coup de pouce interne, à la racine. Et ça, j’étais curieux de voir si ça pouvait vraiment se ressentir.


Premier contact avec Energya : un packaging clean, mais rien de ouf

Le jour où j’ai reçu le colis, j’étais pas spécialement excité. Je commence à avoir l’habitude. Boîte sobre, design propre, capsule végétale, tout est nickel, comme souvent avec Biovancia. Pas d’odeur bizarre, pas de couleur étrange, juste des gélules beige clair, assez classiques. Ça inspire confiance, mais c’est pas non plus un moment waouh.

Je regarde la compo, parce que c’est toujours la première chose que je fais : vitamines B2, B3, B6, B12, coenzyme Q10, L-carnitine, acétyl-L-carnitine, magnésium marin, rhodiola, extrait de ginseng… Tu sens qu’on est sur un mélange costaud, bien ficelé. Et tout de suite, j’me dis que c’est pas juste un booster pour aller courir. C’est pensé pour une fatigue plus globale. Mentale, physique, nerveuse. Et c’est pile ce que je cherchais.

J’ai commencé à le prendre le lendemain matin, à jeun, juste après mon café. Deux gélules. Un grand verre d’eau. Et j’ai attendu. Bon, j’attendais pas des éclairs dans le cerveau non plus, mais j’étais à l’écoute de mon corps. Franchement, les premiers jours, c’est toujours un peu la même chose : rien de flagrant.


Les premiers jours : scepticisme, digestion chelou et micro-détails

La première semaine, j’ai continué ma routine. Réveil à 7h30, ordi à 8h, calls, écriture, tests, mails, sport l’aprèm, dodo tard. J’ai pris Energya chaque matin, mais j’avoue, j’étais sceptique. J’ai pas senti de boost net. Pas comme avec un café ou une boisson énergisante. C’était plus diffus. En fait, les trois premiers jours, j’avais même un léger ballonnement en fin de matinée, ce que j’ai direct associé à la L-carnitine, que j’ai déjà testée solo et qui me fait parfois ça.

Mais ce qui m’a interpellé, c’est que je tenais plus longtemps sans penser à faire une sieste. Et je dis pas que j’étais au taquet, hein. Juste… moins écrasé. Genre vers 14h30, là où d’habitude j’ai un énorme coup de mou, je me sentais plus stable. Moins dans la lutte. Et ça, mine de rien, c’est un micro-signal que je prends au sérieux.

Je me souviens avoir envoyé un message à un pote en lui disant : “C’est pas spectaculaire, mais j’ai l’impression de pas m’effondrer comme d’hab”. Il m’a répondu un sticker d’un mec qui baille. Bref.


Deuxième semaine : effets plus nets, humeur plus stable, cerveau plus propre

C’est à partir du 9ᵉ ou 10ᵉ jour que j’ai commencé à vraiment remarquer un changement. Pas une transformation radicale, mais une constance. Une qualité de présence plus forte. Je galérais moins à rester focus. Les matins étaient plus fluides. J’avais moins besoin de relancer la machine avec des cafés en chaîne. Et surtout, mon humeur était plus stable.

Je sais pas si c’est l’effet du magnésium, de la rhodiola ou du combo global, mais j’étais moins irritable. Moins pressé, moins nerveux. Le genre de truc que tu remarques quand t’as un imprévu et que tu ne pètes pas un câble. Et à côté de ça, j’ai dormi un peu mieux. Pas plus longtemps, mais plus profondément. Je me réveillais moins pendant la nuit. Et là encore, c’est pas spectaculaire, mais au réveil, j’avais plus cette sensation de brouillard mental.

Pendant cette semaine-là, j’ai eu une grosse période de taf. J’ai rédigé deux gros articles, fait une vidéo test pour un autre produit, et répondu à plein de messages Insta. Normalement, j’aurais fini en morceaux. Là, j’étais fatigué, mais fonctionnel. Et ça change tout.


Troisième semaine : boost mental, zéro coup de barre, fluidité dans les idées

Semaine trois, c’est là que j’ai commencé à kiffer. J’te jure, j’avais l’impression que mes idées circulaient mieux. Je galérais moins à structurer mes pensées, à trouver les bons mots, à écrire vite. D’habitude, un article comme celui-ci me prend des plombes. Là, je me posais, et ça déroulait. Et ce genre de fluidité mentale, pour moi, c’est précieux. Parce que je vis de ça.

J’en ai parlé à ma pote Claire, qui est nutritionniste. Elle m’a dit que c’était peut-être l’effet cumulé de la coenzyme Q10 et des vitamines B. Elle m’a aussi dit que beaucoup de gens sont en carence de B12 sans le savoir. Moi je suis pas médecin, mais ça m’a semblé plausible.

Et puis y’a eu un autre détail : j’ai arrêté les cafés multiples. Un seul le matin, puis plus rien. J’en avais plus besoin. C’est comme si mon niveau d’énergie restait stable. Je me levais, je bossais, je bougeais, je dormais. Pas de crash, pas de surrégime, pas de sieste en milieu d’aprèm. Franchement, j’étais bien. Et j’ai commencé à me dire que ce truc, Energya, c’était pas du flan.


Analyse perso : pas un “booster”, mais un stabilisateur intelligent

J’vais être honnête : si tu cherches un truc qui te met un coup de fouet comme une boisson caféinée, Energya, c’est pas pour toi. C’est pas un stimulant. C’est un régulateur. Un stabilisateur. Un truc qui agit à l’intérieur, doucement, mais sûrement. Et qui, au bout de 10-15 jours, commence à vraiment faire sentir ses effets.

Ce qui m’a bluffé, c’est pas une montée d’énergie, mais une meilleure gestion de l’effort. Je me sentais plus capable d’enchaîner les tâches. De garder la tête froide. D’aller courir sans traîner des pieds. Et même au niveau social, j’étais plus présent, plus dispo. Moins dans la fatigue passive.

Y’a pas eu de miracle non plus. J’ai pas gagné en muscle. J’ai pas doublé ma mémoire. J’ai pas arrêté de me lever tard le week-end. Mais dans mon quotidien de mec surchargé, ça a été un vrai soutien.

Le seul truc que je noterais, c’est le prix. C’est pas donné. Faut compter presque 70 balles pour un mois. Est-ce que ça les vaut ? Honnêtement, si t’en as vraiment besoin, oui. Mais si t’es juste un peu fatigué de temps en temps, y’a peut-être plus simple.


Pour qui je recommande Energya, et à qui je le déconseille

Si t’es comme moi – jeune, actif, souvent en flux tendu, et que t’en as marre de vivre dans le brouillard – Energya peut t’aider. C’est pas un médicament, c’est pas un dopant, mais c’est un vrai soutien au quotidien. À condition de jouer le jeu. De le prendre tous les jours. D’avoir une hygiène de vie à peu près stable. Parce que si tu fais la bringue tous les soirs et que tu t’attends à ce que deux gélules compensent, oublie.

Je le déconseillerais par contre aux gens qui attendent un shoot immédiat. C’est pas fait pour ça. C’est pas du Red Bull en pilule. Et aussi à ceux qui ont zéro patience. Parce qu’il faut laisser le temps au produit d’agir.

Je pense aussi que c’est plus utile quand t’as un gros besoin de stabilité mentale. Étudiants en exams, jeunes entrepreneurs, parents surmenés… Là oui. Là ça a du sens.


Mon bilan : est-ce que je continue ? Ce que je ferais différemment

Est-ce que je vais continuer ? Franchement, je pense refaire une cure. Pas forcément en continu. Peut-être un mois sur deux. Parce que j’ai senti une vraie différence. Et que dans ma tête, ça m’a rassuré de savoir que j’avais un soutien, un genre d’allié invisible dans ma routine.

Si je devais recommencer, je le ferais sans café, pour voir si l’effet est encore plus net. Et peut-être en le prenant avec un petit déjeuner riche en protéines, pour éviter le petit ballonnement du début.

En tout cas, c’est une des rares fois où je termine un test en me disant : “Ouais, là j’ai vraiment senti un truc.” Pas une révolution, mais une amélioration tangible, durable. Et dans le monde dans lequel on vit, avec le stress, les écrans, le bruit, les deadlines, c’est déjà énorme.


Fiche technique produit (à ne pas sauter)

Nom du produit : Energya
Ingrédients clés : L-carnitine, acétyl-L-carnitine, coenzyme Q10, magnésium marin, vitamines B2, B3, B6, B12, rhodiola, ginseng, spiruline
Effets annoncés : amélioration de l’énergie cellulaire, réduction de la fatigue, soutien des fonctions cognitives, meilleure performance globale
Posologie réelle : 2 gélules par jour, de préférence le matin
Prix / durée : environ 69 € pour une boîte de 60 gélules (1 mois de cure)
Fabricant : Biovancia
Cible du produit : adultes fatigués, actifs, étudiants, personnes en surcharge mentale ou physique

Maxime

Article rédigé par maxime

Je m'appelle Maxime, j'ai 25 ans. Mon objectif ? Prévenir les risques liés aux addictions et aider ceux qui veulent s’en sortir. Chaque jour, j’échange avec des jeunes pour déconstruire les idées reçues sur la drogue et proposer des alternatives saines. Mon approche est simple : écoute, bienveillance et solutions concrètes.

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