J’vais pas te mentir, CurQ10 de Biovancia, je l’ai testé un peu à l’arrache au début. Je sortais d’une grosse période de fatigue mentale, un peu de brouillard dans la tête, pas mal de tensions dans le corps aussi. Rien de grave, hein, mais assez pour me dire : « Ok, là faut que je trouve un moyen de rebooster la machine ». Et vu que je bosse beaucoup sur drogbox.fr pour décortiquer ce genre de compléments, je me suis dit que c’était le moment de tester un truc qui sort un peu du lot.
CurQ10, j’en avais entendu parler plusieurs fois. Je voyais passer le nom un peu partout dans les groupes bien-être, les forums santé, même dans les discussions Reddit sur la Q10. Mais à chaque fois, je me disais : « Encore un produit blindé de marketing, à base de curcuma magique et de coenzyme miracle ». Tu me connais, je suis curieux, mais je garde toujours un œil méfiant. Je suis pas du genre à gober ce que disent les pubs. Sauf que là, je suis tombé sur le détail qui a piqué ma curiosité : l’association curcumine + Q10 + pipérine dans une seule capsule, et surtout, un truc orienté énergie cellulaire et réduction du stress oxydatif. Là, j’ai levé un sourcil. C’était exactement dans mes cordes du moment.
J’ai donc commandé une boîte, sans trop de conviction, en mode « on verra ». Et ce que j’ai ressenti pendant ces 30 jours de test, je vais tout te raconter ici. Sans bullshit. Sans copier-coller du site. Juste moi, mon expérience, mes doutes, mon corps et cette foutue petite gélule jaune.
Mon état avant CurQ10 : franchement pas top, j’avais besoin d’un coup de pouce
Quand j’ai commencé le test de CurQ10, j’étais dans un état un peu bâtard. Pas au fond du gouffre, mais clairement pas au top. Physiquement, j’étais lourd, pas dans le sens du poids, mais genre vaseux. Comme si mes cellules tournaient au ralenti. Je me réveillais fatigué, j’enchaînais les cafés pour rester concentré sur mes projets, et le soir venu, j’étais trop crevé pour faire du sport ou même sortir marcher. C’était pas moi, ça.
Mentalement, j’étais dans une sorte de flou constant. Tu sais, cette impression d’être là, mais pas vraiment. Comme un écran brouillé entre moi et le monde. J’avais du mal à me concentrer plus de 30 minutes sans décrocher. Mon sommeil était pas catastrophique, mais j’avais du mal à me lever sans me traîner pendant une bonne heure.
J’avais déjà testé quelques nootropiques dans le passé, des trucs à base de bacopa, d’ashwagandha, ou même de GABA. Ça avait fonctionné en partie, mais là j’avais envie de miser sur autre chose. Quelque chose de plus centré sur la cellule elle-même. Je voulais pas juste un coup de boost mental : je voulais retrouver une sorte de clarté dans la tête et un regain d’énergie physique. C’est là que CurQ10 m’a paru intéressant.
Ma découverte de CurQ10 : entre scepticisme et première impression
Quand j’ai reçu la boîte de CurQ10, j’ai eu ce petit moment de recul. Le packaging est sobre, clean, peut-être un peu trop sérieux à mon goût. Tu sens tout de suite que c’est un produit qui veut se positionner comme « scientifique ». Mais justement, moi, ça me met en alerte. Trop de sérieux tue le sérieux parfois. J’ai pris le temps de lire la composition. J’ai vu la fameuse coenzyme Q10, la curcumine titrée à 95 %, et la pipérine. Pas mal. Sur le papier, ça tient la route. Ce sont des actifs que je connaissais déjà séparément. Ce qui m’intriguait, c’était leur synergie.
La capsule est jaune orangée, pas trop grosse. Facile à avaler avec un peu d’eau. L’odeur est neutre, presque inexistante, ce qui est un bon point parce que certains compléments au curcuma sentent le curry des kebabs à trois kilomètres.
Le premier jour, j’ai pris la gélule juste après le petit déj. J’ai pas eu de réaction particulière. Ni boost d’énergie instantané, ni gêne digestive. Rien. Ce qui était plutôt rassurant. J’ai continué comme ça, une gélule le matin, tous les jours, sans jamais zapper. Et j’ai commencé à noter les petites choses qui changeaient. Ou pas.
Les premiers jours : ni miracle, ni cata… juste l’observation
Pendant les cinq ou six premiers jours, honnêtement, j’ai pas ressenti grand-chose. Je surveillais un peu trop, d’ailleurs. Tu sais ce moment où tu te demandes toutes les deux heures : « Est-ce que je me sens mieux ? Est-ce que je pense plus vite ? Est-ce que je suis plus concentré ? » Sauf que ça fausse tout. Du coup j’ai décidé de laisser couler, de continuer à vivre normalement, et de voir ce qui s’installe naturellement.
Dans mes routines, rien n’a changé. Je me levais toujours vers 7h30, je prenais mon café noir, mon bol de flocons d’avoine, puis ma gélule de CurQ10. J’enchaînais avec mon taf, quelques rendez-vous, pas mal de rédaction sur le blog, et les jours s’enchaînaient sans trop de vague. Pas d’effet secondaire. Pas de nausée. Pas de maux de tête. Déjà, c’était un bon point.
Mais le septième jour, j’ai eu une sorte de moment bizarre. Je bossais sur un article assez technique, un gros pavé qui demandait pas mal de concentration. Et là, sans même m’en rendre compte, j’ai bossé 3 heures d’affilée sans pause, sans zapper. Et en relisant le texte, j’ai eu cette impression : c’était clair, fluide, logique. J’avais pas ce flou mental habituel. J’avais pas décroché. Alors je me suis demandé : « Est-ce que c’est le CurQ10 qui commence à faire effet, ou juste un bon jour ? »
À partir de la deuxième semaine : là, j’ai commencé à y croire
La vraie différence, elle s’est installée à partir de la deuxième semaine. Et c’est là que ça devient intéressant. Parce que ce que j’ai ressenti, c’est pas un effet spectaculaire, comme un booster ou un café. C’était plus subtil. C’était comme si mon énergie revenait à un niveau stable. Pas en pic, mais en fond. Je me sentais plus solide, mentalement et physiquement. Moins de moments de down dans la journée. Moins de fatigue en fin d’aprèm. Et surtout, une meilleure récupération après mes séances de sport, que j’avais réussi à reprendre timidement.
J’ai commencé à ressortir marcher le soir. Pas des marathons, hein. Juste 30 minutes dans le quartier, casque sur les oreilles. Et j’avais cette sensation que mon corps répondait mieux. Moins raide. Moins lourd. Je dormais un peu mieux aussi, je mettais moins de temps à m’endormir, même si je me réveillais encore parfois vers 4-5h du mat. Mais globalement, j’étais moins dans la rumination mentale.
Le plus surprenant, c’est que je me suis mis à discuter du produit avec deux potes. L’un d’eux est kiné, l’autre taff en pharma. Ils connaissaient la Q10 mais pas la version « boostée » avec curcuma. Et là, on a eu un vrai débat sur la biodisponibilité, la pertinence de cette synergie, les effets sur le stress oxydatif. Et je dois dire que ça m’a conforté dans l’idée que j’étais pas en train de me faire des films.
Analyse honnête : CurQ10, bluff ou vrai soutien ?
Franchement, CurQ10 m’a pas retourné la tête. C’est pas un produit qui te fait bondir hors du lit en hurlant « J’suis invincible ! ». Mais c’est pas ce qu’il promet non plus. Il promet pas du délire. Il promet un soutien cellulaire, une aide à l’énergie naturelle, une protection contre le stress oxydatif. Et sur ce terrain, j’dois dire qu’il tient sa promesse. Lentement, mais sûrement.
Ce que j’ai vraiment apprécié, c’est l’absence totale d’effets secondaires. Pas de ballonnements, pas d’insomnie, pas d’agitation. Et surtout, un effet stable. Pas de yo-yo d’énergie. Pas d’hyper puis de crash. Juste un niveau de fond un peu plus haut que d’habitude. Une endurance mentale et physique améliorée.
Est-ce que ça vient uniquement du produit ? Peut-être pas. J’ai aussi fait des efforts à côté. J’ai mangé un peu mieux, j’ai repris le sport, j’ai fait gaffe à mon sommeil. Mais c’est souvent comme ça : un bon complément, c’est un coup de pouce, pas une baguette magique. Et CurQ10 m’a clairement aidé à enclencher un cercle vertueux.
Mon avis global : je recommande, mais pas à tout le monde
Si tu me demandes aujourd’hui ce que je pense du CurQ10, je te dirais que c’est un bon produit, à condition de savoir pourquoi tu le prends. Si tu cherches un coup de boost immédiat pour remplacer ton café ou pour te sortir d’une fatigue extrême en trois jours, oublie. C’est pas fait pour ça.
Mais si t’as une fatigue de fond, une baisse de clarté mentale, une sensation d’être un peu à l’arrêt dans ta tête et dans ton corps, là oui. C’est là que CurQ10 prend tout son sens. Et encore plus si tu te situes dans une tranche d’âge où la Q10 commence à baisser naturellement (à partir de 30 ans, ça commence à se faire sentir). Moi j’ai 25 ans, je suis encore jeune, mais avec le rythme que j’ai, la charge mentale, les écrans, le stress, je pense que c’était pas du luxe.
Je recommanderais aussi le produit à ceux qui bossent beaucoup sur ordi, ceux qui manquent de soleil, ou ceux qui ont arrêté le sport et veulent retrouver un peu de niaque. Par contre, si t’as déjà une hygiène de vie bordélique, que tu dors 4h par nuit et que tu fumes 12 clopes par jour, c’est pas une gélule de CurQ10 qui va faire le taf à ta place.
Conclusion : Est-ce que je continue ? Et si je devais recommencer…
Alors, est-ce que je vais continuer ? La réponse est oui. J’ai commandé une deuxième boîte. Parce que j’ai envie de voir ce que ça donne sur le long terme. Et surtout, parce que j’ai l’impression que ça m’a remis dans une bonne dynamique. Et ça, c’est précieux. Le genre de truc que tu peux pas quantifier, mais que tu ressens.
Si je devais recommencer, je ferais peut-être plus attention à ma diète dès le début. J’éviterais les jours de test où je dors mal ou je bouffe n’importe quoi, histoire de vraiment sentir la différence. Et surtout, je lâcherais prise plus vite. J’attendrais pas des effets immédiats. Parce que CurQ10, c’est pas un coup de poing. C’est une sorte de main posée dans ton dos qui te pousse doucement vers un mieux.
Et c’est exactement ce que je cherchais.
Informations sur le produit testé
Nom du produit : CurQ10
Ingrédients clés : Curcumine titrée à 95 %, Coenzyme Q10, Pipérine
Effets annoncés : Soutien à l’énergie cellulaire, réduction du stress oxydatif, protection des cellules, amélioration de la vitalité
Posologie réelle : 1 gélule par jour avec un verre d’eau
Prix / durée : Environ 69 € la boîte de 30 gélules (1 mois de cure)
Fabricant ou origine : Biovancia, laboratoire français
Cible du produit : Adultes à partir de 30 ans, personnes fatiguées ou stressées, recherche de vitalité naturelle
Si tu veux le prochain test en avant-première, reste branché sur drogbox.fr. Parce qu’ici, on teste pour de vrai.