J’vais pas te mentir : si tu m’avais parlé de “Circuzen” y’a encore deux mois, j’aurais probablement haussé les épaules en mode “Encore un complément pour les darons, non ?”. C’est vrai, dès que t’entends “circulation sanguine” à 25 piges, t’as tendance à penser que t’es pas concerné. Genre, c’est un truc de quadra qui passe trop de temps assis ou de mamie qui veut éviter les jambes lourdes. Mais comme souvent avec les compléments alimentaires, c’est un pote — Léo, pour pas le citer — qui m’a mis la puce à l’oreille un soir de juillet en me balançant un truc du genre “Frérot, j’ai testé ce truc-là pour la microcirculation, j’te jure j’ai eu moins de fourmis dans les jambes en fin de journée.” Bon, il avait bossé 9h debout dans un resto sans clim’, donc j’ai pas tout de suite été convaincu.
Mais quelques jours plus tard, après une énième journée passée en sandales, à moitié vautré devant mon ordi, les jambes qui piquent, la tête lourde, le cardio à plat, je me suis dit “Et si j’essayais moi aussi, juste pour voir ?” C’est comme ça que j’ai débarqué sur le site de Biovancia. Et c’est comme ça que Circuzen est entré dans ma routine pendant quatre semaines complètes. Aujourd’hui, je t’en parle sans filtre, comme d’hab. Mon ressenti, mes doutes, mes surprises. T’as l’habitude maintenant : ici, c’est pas la vitrine d’un labo, c’est un vrai retour de terrain.
Où j’en étais avant de prendre Circuzen : pas (encore) un daron, mais…
Faut que je t’avoue un truc : j’ai un mode de vie qui ressemble à un yo-yo. Je peux passer une semaine à enchaîner les footings et les repas sains, puis basculer la suivante en mode pizzas surgelées, veille jusqu’à 3h du mat’ et 2000 pas par jour. En ce moment-là, j’étais dans une phase molle. Moins de sport, plus de taf, et surtout, des sensations bizarres dans les jambes. Pas douloureuses, mais gênantes. Le genre de trucs qui te donnent envie de t’étirer en pleine réunion ou de taper du talon quand t’es assis. J’me suis dit que c’était peut-être la chaleur, ou le fait de rester trop assis. Mais quand t’as 25 ans et que tu commences à ressentir ça, tu peux pas juste dire “C’est normal”.
Ajoute à ça un sommeil pas ouf, un stress en toile de fond parce que j’essayais de lancer une nouvelle section sur drogbox, et un rythme de vie pas stable du tout. En gros, j’étais pas au bout du rouleau, mais clairement pas dans mon meilleur état. Et puis, j’avais zéro routine pour ma circulation, aucune activité ciblée type yoga ou massages. Bref, si Circuzen allait faire quelque chose pour moi, ça se verrait.
Premier contact avec Circuzen : des gélules et un discours séduisant
Quand j’ai reçu le flacon, j’ai pris deux secondes pour lire l’étiquette. Design propre, sobre, un peu comme tous les produits Biovancia. Pas de promesse démesurée, mais un discours assez rassurant : “favorise la circulation sanguine, soulage la sensation de jambes lourdes, améliore la microcirculation.” Ok. Moi j’étais surtout curieux de voir si ça allait m’aider à me sentir moins “lourd” en fin de journée, et peut-être à avoir plus d’énergie globale.
À l’ouverture, rien de particulier : ce sont des gélules classiques, assez neutres niveau odeur. Pas de goût chelou, rien d’industriel qui pique le nez. J’ai toujours du mal avec les produits qui sentent le médicament de pharmacie, là ce n’était pas le cas. La posologie indiquée : deux gélules par jour, à prendre avec un verre d’eau. Facile. Je décide de les prendre le matin, à jeun, juste après mon café, pour que ce soit régulier. Je les posais à côté de mon ordi, histoire de pas zapper. C’est bête mais ce genre de petits rituels, ça aide à tenir sur la durée.
Les premiers jours avec Circuzen : entre attente et scepticisme
Je te le dis direct : les trois premiers jours, j’ai rien senti. Genre, zéro. Pas plus d’énergie, pas moins de picotements dans les jambes. J’en ai parlé à Léo, il m’a dit “Faut attendre, c’est pas du Red Bull ton truc, c’est de la microcirculation, ça prend du temps.” Et il avait raison. Mais c’est toujours frustrant de prendre un complément et de ne rien ressentir les premiers jours. Tu te demandes si t’as jeté ton fric par la fenêtre. Tu compares avec les fois où t’as testé des trucs plus “flash”, genre un nootropique qui te met une claque de caféine en quinze minutes.
Cela dit, j’ai quand même observé un truc dès le jour 4. En fin de journée, j’avais un peu moins cette sensation de jambes “pleines”, comme si elles avaient gonflé à force de rester assis. Pas flagrant, mais suffisant pour que je me dise “tiens, c’est peut-être pas placebo.” Et surtout, pas d’effet secondaire. Pas de nausée, pas de maux de tête, pas de souci de transit. Mon sommeil était déjà moyen à ce moment-là, donc j’ai pas noté de changement brutal, mais au moins, ça perturbait rien.
Deuxième semaine : changements subtils, mais réels
C’est à partir de la deuxième semaine que j’ai commencé à noter des évolutions plus concrètes. D’abord, j’ai eu la sensation que mes jambes “chauffaient” moins en fin de journée. Je sais pas comment te le dire autrement : avant, quand je montais les escaliers le soir, j’avais l’impression que mes mollets étaient lourds, comme engorgés. Là, c’était plus fluide. Je me suis même surpris à proposer des balades à des potes, ce que je fais jamais après 18h en été.
Autre truc : mon niveau d’énergie, sans être incroyable, était plus stable. J’avais moins de coups de barre à 15h. C’est pas flagrant comme un booster de caféine, mais c’est comme si j’étais plus “présent” dans la journée. J’ai continué à prendre les gélules le matin, toujours à jeun. J’ai essayé un jour de les prendre après manger, j’ai pas vu de différence. Mais honnêtement, j’aime bien les compléments qui s’intègrent bien dans une routine sans me forcer à changer mes habitudes.
Ah, et fun fact : une pote m’a demandé si j’avais repris le sport. Je lui ai dit non, et elle m’a dit “Tu marches plus vite qu’avant, non ?” Peut-être que c’est rien, peut-être que c’est moi qui me tenais plus droit, mais dans le doute, je l’ai pris comme un mini-signe.
Troisième et quatrième semaine : le produit s’installe dans le quotidien
Pendant la troisième semaine, j’ai voulu pousser un peu plus loin le test. J’ai repris les escaliers systématiquement au lieu de prendre l’ascenseur, j’ai marché plus, j’ai même tenté une session de cardio légère. Ce qui m’a surpris, c’est que mes jambes ont mieux encaissé l’effort. Moins de crampes, moins de raideurs après. Est-ce que c’est Circuzen ? Franchement, j’ai envie de croire que oui, parce que c’était le seul paramètre qui avait changé. J’avais pas modifié mon alimentation, je dormais toujours moyen, et mon stress était toujours là (merci le lancement de mon e-book sur le site).
Un soir, j’ai eu une discussion avec mon coloc à ce sujet. Il me demandait si j’avais l’impression que c’était psychologique ou réel. Je lui ai répondu : “Si c’est placebo, c’est un très bon placebo. Parce qu’en tout cas, je me sens mieux, et j’ai pas changé autre chose dans ma vie.” Et c’est vrai. Je me suis même mis à boire plus d’eau, naturellement. Je pense que quand tu sens ton corps plus “fluide”, t’as moins envie de l’intoxiquer. C’est un cercle vertueux qui s’installe.
Circuzen avis : entre attentes réalistes et petits effets bluffants
On va pas se mentir, j’attendais pas un miracle. Je voulais juste me sentir moins lourd, plus mobile, plus léger sur mes jambes. Et de ce côté-là, Circuzen a coché pas mal de cases. Le plus impressionnant, c’est pas un effet spectaculaire, mais une accumulation de petits mieux. Le genre de trucs que tu remarques surtout quand tu arrêtes le produit (ce que j’ai fait pendant 3 jours après le test pour voir), et que t’as l’impression que les sensations de lourdeur reviennent.
J’ai pas été bluffé par l’étiquette, mais j’ai creusé un peu après coup. Et j’ai vu que dedans, y’avait du marron d’Inde, du petit houx, du ginkgo biloba… Des plantes qu’on retrouve souvent dans les formules pour les jambes lourdes. Du coup, rien d’inventé. Et honnêtement, je préfère ça : un truc bien construit, avec des ingrédients connus, plutôt qu’un mélange chelou avec des noms imprononçables.
Le prix, lui, est pas donné. On est sur un produit premium, clairement. Mais vu que ça dure un mois et que t’as pas besoin de multiplier les compléments à côté, ça passe. J’le recommanderais pas à quelqu’un qui a zéro souci de circulation, mais si t’es souvent assis, ou que tu ressens des picotements réguliers, ça peut valoir le coup d’essayer un mois.
Est-ce que je recommande ? Oui, mais pas à tout le monde…
Franchement, si t’as 20 ans, que tu fais du sport tous les jours, que tu marches beaucoup, et que t’as jamais eu la sensation d’avoir des jambes lourdes, passe ton chemin. T’auras rien à en tirer. Mais si t’as une vie sédentaire, que tu bosses assis, que t’as souvent chaud aux jambes en été, ou que tu sens que la circulation pourrait être meilleure, Circuzen peut clairement t’apporter un mieux-être.
Je le vois un peu comme un coup de pouce discret. C’est pas un booster d’énergie ou un détox ultra visible. C’est plus subtil, plus progressif. Faut être à l’écoute de son corps. Si t’es le genre de mec qui oublie ses sensations et attend que ça aille vraiment mal pour réagir, t’auras peut-être du mal à sentir les effets. Mais si tu fais un peu attention à ton état au quotidien, tu verras la différence.
Conclusion : si c’était à refaire ? Oui… mais avec un petit twist
Si je devais recommencer le test, je le couplerais peut-être à un vrai changement de rythme. Plus de marche, plus de sport, peut-être même une appli pour suivre mes sensations au jour le jour. J’ai l’impression que Circuzen aurait encore plus d’impact si je lui laissais un vrai terrain d’action. Là, il a fait le taf dans un contexte un peu chaotique, ce qui est déjà pas mal.
Est-ce que je vais continuer ? Je pense que je referai une cure à l’automne, quand je recommencerai à bosser en intérieur non-stop. Ça me semble être le bon moment. En attendant, j’ai gardé l’habitude de mieux écouter mon corps, et rien que pour ça, le test valait le coup.
Produit testé : Circuzen
Ingrédients clés : Marron d’Inde, Ginkgo biloba, Petit Houx, Vigne rouge, Cassis, OPC de raisin
Effets annoncés : amélioration de la circulation, réduction de la sensation de jambes lourdes, meilleure microcirculation
Posologie réelle : 2 gélules par jour, de préférence le matin avec un verre d’eau
Prix / durée : cure de 30 jours, produit premium
Fabricant : Biovancia, France
Cible du produit : adultes avec problèmes de circulation ou de jambes lourdes, mode de vie sédentaire, météo chaude, station debout ou assise prolongée