Audizen avis : mon retour après un mois de test, sans filtre ni bullshit

août 22, 2025

Audizen avis : mon retour après un mois de test, sans filtre ni bullshit

Je t’écris ce retour après un mois complet avec Audizen dans les veines – ou plutôt dans l’estomac. Parce que ouais, j’ai tout fait sérieusement, jour après jour, sans zapper une seule prise, pour me faire un avis solide. Et comme d’habitude, je te balance tout ici, sans filtre, sans blabla marketing, comme si on était posés à parler sur un banc.

Ce que tu vas lire, c’est pas un copier-coller d’un site de pharmacie en ligne, ni un article payé par une marque. C’est juste moi, Maxime, 25 piges, testeur indépendant et créateur de drogbox.fr, un blog que j’ai lancé pour aider les gens à pas se faire enfumer. Mon crédo ? Tout tester moi-même, et tout raconter, le bon comme le mauvais. Et dans le cas d’Audizen, j’avais pas mal d’a priori au début. Franchement, une gélule censée améliorer l’audition, atténuer les acouphènes et calmer le système nerveux ? J’y allais à reculons, mais curieux quand même.


Mon état d’esprit et ma condition avant de commencer Audizen

Je vais pas te mentir, je suis pas le genre à avoir des bouchons dans les oreilles ou à porter des appareils auditifs. Mais depuis que je passe ma vie à bosser devant un ordi, à écouter de la musique dans un casque parfois trop fort, ou à sortir en soirée avec les basses dans le bide, j’ai commencé à avoir des petits bourdonnements chelous dans l’oreille gauche. Tu sais, ce petit sifflement qui vient quand tu t’endors, ou ce bruit blanc qui reste dans le crâne alors que tout est silencieux autour. Rien de méchant, mais suffisant pour me faire flipper sur le long terme.

Et puis y’avait la fatigue aussi. Je dormais mal, je me réveillais parfois au moindre bruit, j’avais du mal à décrocher mentalement. Mon cerveau tournait à fond, même quand j’étais censé être au calme. Je me suis dit que peut-être, ce truc pouvait m’aider sur les deux tableaux : réduire les tensions dans la tête, et me filer un petit coup de main niveau oreille. C’est pas pour rien que le nom du produit, “Audizen”, mélange audio et zen, j’imagine.

Alors voilà, j’étais pas sourd, mais j’étais pas serein non plus. Je voulais surtout vérifier si ce genre de complément pouvait avoir un vrai effet sur ce genre de gênes modernes, pas très graves, mais bien relous au quotidien.


Mon premier contact avec Audizen : j’ai pas su quoi penser

Quand j’ai reçu le colis, je suis resté bloqué une minute sur le packaging. Sobre, un peu classe même, avec des mentions bien alignées, une petite promesse en face avant : “Apaise les gênes auditives et participe à la sérénité mentale”. Ça reste vague, mais suffisamment bien écrit pour piquer ma curiosité.

J’ai retourné la boîte, lu les ingrédients. Ginkgo biloba, magnésium, mélisse, bacopa, zinc… pas des trucs farfelus. Des plantes connues pour leurs effets sur la circulation, le système nerveux, la mémoire. À ce moment-là, j’ai eu un petit frisson : est-ce que je suis en train de prendre un complément pour vieux ? Genre le genre de truc que mon oncle ou ma grand-mère pourrait acheter après une pub à la télé ? Mais bon, je me suis rappelé que même à 25 ans, le stress, le bruit, les écrans et les écouteurs à fond peuvent t’user, même si t’as encore tous tes cheveux.

Les gélules, elles sont plutôt grosses, pas énormes non plus, mais faut avoir l’habitude. Odeur neutre. Aucun goût. Je les ai prises avec un grand verre d’eau, en fin de matinée, tous les jours après le petit-déj. Je voulais pas les prendre à jeun pour éviter les nausées – j’ai déjà eu des mauvaises surprises avec d’autres produits.


Les premiers jours avec Audizen : zéro magie, mais une ambiance différente

J’vais être franc : les trois premiers jours, j’ai rien senti. Genre rien du tout. Pas d’effet placebo, pas de miracle. Juste ma routine habituelle, avec un geste en plus chaque matin. Mais à partir du quatrième ou cinquième jour, y’a eu un changement subtil. J’ai pas entendu une voix dans ma tête me dire “Audizen agit maintenant”, hein, c’était plus diffus que ça.

J’ai commencé à remarquer que je m’endormais un peu plus vite. Tu vois, d’habitude, je scroll TikTok comme un abruti avant de fermer les yeux, et ensuite je reste dans mon lit à écouter le silence (ou ce qui ressemble à du silence). Là, j’avais toujours cette manie du scroll, mais j’étais moins tendu. Comme si mon corps était plus ok avec l’idée de s’endormir, même si mon cerveau traînait encore un peu.

Niveau oreilles, rien de révolutionnaire. J’avais toujours ce petit bruit de fond, ce mini bourdonnement du côté gauche. Mais il semblait moins présent. C’est dur à expliquer, mais c’était comme si mon seuil de tolérance au bruit avait changé. Comme si mon cerveau décidait de l’ignorer un peu plus facilement. Et rien que ça, ça m’a intrigué.


Deuxième semaine : un truc qui commence à se passer (je crois)

Là où j’ai vraiment commencé à me poser des questions, c’est vers le dixième ou onzième jour. J’étais en terrasse avec un pote, et à un moment, il me sort : “T’as l’air posé en ce moment, c’est chelou.” Et je me suis rendu compte que ouais, il avait pas tort. J’étais pas dans une euphorie cheloue, mais j’étais moins irrité, plus calme, comme si j’avais arrêté de me battre intérieurement contre tous les petits bruits ou tensions du quotidien.

Le soir même, j’ai repensé à ma semaine. Moins de migraines, moins de moments où je me sens saturé par le bruit ou la lumière. Et j’ai aussi remarqué un autre détail : j’avais arrêté d’avoir ce réflexe de retirer mes écouteurs au bout de 20 minutes parce que j’avais “mal aux oreilles”. Ce genre de micro-signal que ton corps t’envoie quand t’as trop forcé. Là, ça tenait plus longtemps. C’était pas spectaculaire, mais c’était net.

Est-ce que c’est l’effet combiné du ginkgo sur la circulation, du magnésium sur les tensions nerveuses, de la mélisse pour le côté relaxant ? Peut-être. En tout cas, j’ai eu l’impression que mon système nerveux était moins à fleur de peau. Et ça, franchement, ça fait une grosse différence dans ma vie quotidienne.


Troisième semaine : stabilisation et réflexions nocturnes

À ce moment-là, j’étais en plein dans ma routine. Gélules tous les matins, pas d’oubli, sommeil plus stable, humeur plus lisse. Je me suis surpris à écouter plus de podcasts, plus longtemps, sans avoir besoin de baisser le volume. Et surtout, j’ai passé trois nuits d’affilée sans me réveiller une seule fois. Ce qui, pour moi, est une performance olympique.

Un soir, j’ai même eu un petit débat avec un pote qui prend de la mélatonine pour dormir. Je lui ai parlé d’Audizen, il m’a dit : “Mec, tu crois à ce genre de trucs ?” Et j’ai pas su quoi répondre tout de suite. Parce que j’y croyais pas vraiment, au départ. Mais en vivant l’expérience, en observant tous les micro-effets, je me suis dit que même si c’est léger, c’est là. Et c’est pas négligeable.


Ce que j’ai vraiment ressenti (et ce que j’ai pas ressenti du tout)

Maintenant qu’on est entre nous, je peux te dire ce que j’ai ressenti très concrètement : une baisse de la tension nerveuse, un sommeil plus profond, moins de fatigue auditive, une forme de clarté mentale plus douce. Ce que j’ai pas ressenti, par contre, c’est une disparition magique des acouphènes. J’ai toujours ce petit sifflement le soir, sauf que je le vis mieux. Il me dérange moins, il m’empêche plus de dormir.

Pas d’effet secondaire, aucun. Ni nausée, ni maux de tête. Rien à signaler de ce côté-là. Et c’est pas négligeable non plus, quand on teste un produit sur plusieurs semaines. Certains compléments me flinguent l’estomac ou me coupent la soif. Là, zéro souci.


Mon avis sur Audizen : utile, mais pas pour tout le monde

Bon, on y vient. Est-ce que je recommande Audizen ? Oui, mais pas à tout le monde. Si t’as des problèmes auditifs lourds, genre surdité, pathologie sérieuse, va voir un ORL, ça remplacera jamais une vraie prise en charge médicale. Mais si, comme moi, t’es un jeune un peu usé par le bruit, les écrans, les tensions de la vie moderne, ça peut t’aider à réguler. C’est pas un médicament, mais un soutien. Une béquille légère, mais constante.

Je dirais que c’est surtout utile si tu sens que ton système nerveux est un peu à cran, si t’as du mal à lâcher prise, si t’es fatigué par les petits bruits du quotidien. Faut pas attendre des miracles, mais si tu observes bien ton corps, tu sentiras que ça bouge, que ça s’ajuste. Et ça, ça vaut le coup.


Est-ce que je continuerai ? Est-ce que je referais pareil ?

Alors ouais, si c’était à refaire, je recommencerais. Mais peut-être en adaptant un peu. J’essaierais de le prendre le soir, pour voir si ça accentue encore l’effet relaxant. Je ferais aussi un vrai point ORL avant, pour partir sur de bonnes bases. Et je couplerais peut-être avec un programme de méditation ou des pauses auditives dans la journée. Parce que le complément, c’est bien, mais c’est encore mieux quand il s’inscrit dans un vrai changement de rythme.

Je vais faire une pause d’un mois et voir si mes anciens symptômes reviennent. Si c’est le cas, je saurais que c’était pas placebo. Et je te tiendrai au courant sur drogbox.fr, comme d’hab.


Données produit : Audizen

Nom : Audizen
Ingrédients clés : Ginkgo biloba, Bacopa monnieri, Mélisse, Zinc, Magnésium, Vitamine B6
Effets annoncés : Apaisement des gênes auditives, réduction des acouphènes, soutien du système nerveux, amélioration du sommeil et de la concentration
Posologie réelle : 2 gélules par jour avec un grand verre d’eau, de préférence le matin
Prix / durée : Environ 69€ la boîte pour un mois de cure
Fabricant / origine : Biovancia, laboratoire français
Cible : Adultes sensibles au bruit, sujets aux acouphènes légers, jeunes stressés ou fatigués nerveuseme

Maxime

Article rédigé par maxime

Je m'appelle Maxime, j'ai 25 ans. Mon objectif ? Prévenir les risques liés aux addictions et aider ceux qui veulent s’en sortir. Chaque jour, j’échange avec des jeunes pour déconstruire les idées reçues sur la drogue et proposer des alternatives saines. Mon approche est simple : écoute, bienveillance et solutions concrètes.

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