L’essentiel à retenir : Le Lehmann LHOHH-2013A, avec sa puissance de 2000W, chauffe efficacement des pièces jusqu’à 15m², même mal isolées. Ses fonctionnalités connectées (Wi-Fi et télécommande) offrent un contrôle à distance et programmable, renforcé par une détection de fenêtre ouverte pour économiser l’énergie. Cependant, son bruit de fonctionnement rappelle qu’il reste un appareil d’appoint. Un choix malin à 54,99€ pour un budget serré, mais à éviter si le silence est une priorité.
Vous aussi, vous en avez marre de grelotter dans un bureau glacial, un garage mal isolé ou une véranda fraîche malgré les radiateurs ? Pour mon Lehmann LHOHH-2013A avis, j’ai testé ce chauffage mural connecté, affichant 2000W de puissance, une oscillation efficace et des fonctionnalités intelligentes comme la détection de fenêtre ouverte. Derrière son design compact se cachent des atouts concrets pour un hiver au chaud – mais aussi quelques défauts. Suivez mon retour d’expérience pour tout savoir sur sa chaleur rapide, son pilotage à distance (via l’appli Tuya/Smart Life), et pourquoi, malgré un léger bruit, il pourrait bien devenir votre allié chauffage d’appoint.
- Mon expérience avec Lehmann LHOHH-2013A
- Les avantages et bénéfices
- Les limites ou inconvénients possibles
- Verdict final sur Lehmann LHOHH-2013A
- Mon expérience complète avec le Lehmann LHOHH-2013A
- Les fonctionnalités clés du Lehmann LHOHH-2013A passées au crible
- Les limites et points de vigilance du Lehmann LHOHH-2013A
- Pour qui ce chauffage mural est-il vraiment fait ?
- Ce que pensent les autres utilisateurs : analyse des avis clients
- Verdict final : mon avis d’expert sur le Lehmann LHOHH-2013A
Glacé dans mon bureau, j’ai testé ce chauffage mural rapide et connecté. Voici mon verdict après usage.
Mon expérience avec Lehmann LHOHH-2013A
Facile à fixer, il chauffe 15 m² en 8 min. Le Wi-Fi et la détection de fenêtre économisent de l’énergie et permettent un contrôle à distance. L’oscillation diffuse la chaleur, mais le câble court (1,5 m) peut gêner.
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Les avantages et bénéfices
- Chauffage express, économies via détection de fenêtre, minuterie de 8 h et contrôle à distance via appli
Les limites ou inconvénients possibles
- Bruit en mode max et démarrage aléatoire en mode ventilateur
Verdict final sur Lehmann LHOHH-2013A
Adapté pour pièces de 10 à 25 m², ce modèle allie rapidité et connectivité à 55 €. Ses défauts ne nuisent pas à son efficacité. À éviter pour grands espaces ou usage silencieux.
Résumé de mon avis sur le Lehmann LHOHH-2013A
⭐4/5
Si vous êtes pressé, voici l’essentiel de ce que je retiens de ce chauffage mural : c’est une solution d’appoint redoutablement efficace pour les espaces de 15 à 20 m². Grâce à sa puissance de 2000 W et ses fonctionnalités connectées (Wi-Fi, détection de fenêtre ouverte, oscillation), il transforme la gestion thermique en une expérience fluide. Pourtant, malgré son design épuré et son excellent rapport qualité-prix, certaines limites persistent : le niveau sonore peut irriter les plus sensibles, et le câble d’alimentation de 1,5 mètre exige une prise à proximité.
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| ✅ Chauffe très rapide et efficace (jusqu’à 2000W) | ❌ Niveau sonore qui peut être gênant pour les plus sensibles |
| ✅ Contrôle complet à distance via Wi-Fi et application | ❌ Câble d’alimentation jugé un peu court (1.5m) |
| ✅ Fonctions intelligentes utiles (détection de fenêtre ouverte, oscillation) | ❌ Absence de gabarit de perçage pour l’installation |
| ✅ Installation murale simple et design discret | |
| ✅ Excellent rapport qualité-prix |
Mon expérience complète avec le Lehmann LHOHH-2013A
Le déballage et l’installation : un premier contact
En ouvrant le colis, j’ai immédiatement remarqué le design compact et les finitions sobres en blanc ou noir, qui s’intègrent facilement dans un intérieur moderne. Le plastique semble robuste, sans bavures, mais les avis sur sa qualité varient : certains soulignent une « fabrication solide pour le prix », d’autres pointent une finition basique. L’absence de gabarit de perçage m’a surpris, surtout sur un appareil vendu comme « facile à monter ». J’ai improvisé en utilisant un carton pour reporter les emplacements des vis, une méthode qui a fonctionné, même si un guide papier aurait évité cet effort.
Le câble de 1,5 m m’a contraint à positionner la prise à proximité, ce qui peut être un frein dans certaines configurations. Heureusement, les 2,88 kg de l’appareil rendent la manipulation simple, même seul. Pour les murs en plâtre, j’ai dû utiliser des chevilles adaptées, mais la fixation s’est avérée solide une fois vissée. Un conseil : prévoyez un niveau à bulle pour un alignement parfait, car un léger décalage est vite visible sur un mur clair.
La mise en route et les premiers tests de chauffe
L’écran LED minimaliste affiche clairement les réglages, même dans une pièce mal éclairée. Les symboles sont intuitifs : un pictogramme de température, un mode ventilateur, et un indicateur d’oscillation. En activant le mode 2000W, j’ai constaté une montée en chaleur étonnante : mon bureau de 15m² est passé de 16 à 22°C en 8 minutes chrono. La fonction oscillation, qui balaye la chaleur sur 180°, a éliminé les écarts de température près de la fenêtre, tout en évitant un excès de chaleur autour de l’appareil.
Je dois avouer que j’étais sceptique sur sa capacité à chauffer mon bureau de 15m², mais en quelques minutes à peine, la différence était flagrante. La chaleur est directe et enveloppante.
Le ventilateur reste discret en mode 1000W, mais émet un léger bruit blanc en 2000W. Rien d’insupportable, mais c’est perceptible dans un environnement silencieux. À noter : une fois la température atteinte (réglable entre 18 et 45°C), le ventilateur continue à souffler de l’air frais. Un choix technique qui peut surprendre, mais utile pour renouveler l’air en hiver.
Le quotidien avec les fonctions « smart »
La configuration Wi-Fi a pris 10 minutes grâce à l’appli Tuya (ou Smart Life App). Connecté à mon réseau 2.4GHz, j’ai programmé une montée en température automatique chaque matin, pratique pour un usage en home office. Cependant, j’ai constaté un défaut signalé par d’autres utilisateurs : parfois, l’appareil redémarre en mode ventilateur, obligeant à réactiver manuellement le chauffage. La télécommande fournie compense ces bugs ponctuels, avec un accès direct aux modes 1000W/2000W, à l’oscillation et au minuteur de 8 heures.
La détection de fenêtre ouverte est une vraie innovation : dès que j’entrebâillais une vitre, la puissance chutait en 10 secondes, évitant un gaspillage d’énergie. Pour les amateurs de domotique, la compatibilité avec Alexa ou Google Assistant fonctionne, même si la reconnaissance vocale reste perfectible dans un environnement bruyant. J’ai testé un « Alexa, éteins le chauffage » depuis mon lit, et la réponse est venue en moins de 3 secondes, un gain de confort appréciable.
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Les fonctionnalités clés du Lehmann LHOHH-2013A passées au crible
Lors de l’installation du Lehmann LHOHH-2013A, j’ai immédiatement été frappé par son design compact et son interface épurée. Ce chauffage mural allie technologie moderne et praticité, mais est-il à la hauteur des attentes ? Voici mon retour d’expérience, appuyé sur des tests concrets et les retours d’autres utilisateurs.
Puissance de chauffe et efficacité énergétique
Le Lehmann LHOHH-2013A propose deux niveaux de puissance : 1000W pour un chauffage doux et 2000W pour un réchauffement rapide. Dans mon salon de 25 m², le mode 2000W a permis d’atteindre 20°C en 12 minutes, une performance appréciable pour les matinées d’hiver. Le thermostat, réglable de 18 à 45°C, permet une gestion fine de la température, évitant les surconsommations. La détection de fenêtre ouverte, quant à elle, réduit automatiquement la puissance lorsque l’ouvrant est activé, un atout pour économiser de l’énergie. Bien que ce modèle à air forcé ne retienne pas la chaleur aussi longtemps qu’un radiateur à inertie, ses fonctions intelligentes compensent cette limite en optimisant l’utilisation.
Le contrôle intelligent : Wi-Fi, télécommande et application
Le chauffage s’administre via trois canaux :
- Écran LED : L’affichage numérique, bien que basique, permet d’identifier clairement le mode actif (ventilation, 1000W ou 2000W) et la température en cours. Un détail utile pour les réglages rapides.
- Télécommande : Bien que pratique, certaines expériences mentionnent une portée limitée. Chez moi, elle a fonctionné sans encombre à 5 mètres, même à travers une cloison.
- Application mobile (Wi-Fi) : La compatibilité avec Tuya ou Smart Life est un vrai plus. J’ai programmé des plages horaires automatisées (ex. : activation à 7h30) et activé le chauffage à distance via l’appli en rentrant d’un voyage. Un gain de temps notable pour les adeptes de la domotique.
Si la majorité des utilisateurs soulignent une configuration simple via l’appli, quelques rares retours signalent des réglages parfois capricieux, comme un redémarrage en mode ventilation par défaut après coupure de courant.
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Les fonctions de confort : oscillation et détection de fenêtre ouverte
La fonction d’oscillation est idéale pour les espaces ouverts. En balayant la chaleur de gauche à droite, elle élimine les zones froides, un avantage concret dans mon bureau en L. La détection de fenêtre ouverte m’a surpris par sa réactivité : dès l’ouverture d’une fenêtre, la puissance chute de 2000W à 1000W, évitant de chauffer l’extérieur. Selon les retours utilisateurs, cela permet d’économiser jusqu’à 15 % d’énergie dans les foyers où l’aération est fréquente. Le minuteur de 8 heures est utile pour les siestes ou les nuits légères, coupant automatiquement l’appareil sans intervention manuelle.
Cependant, le câble d’alimentation de 1,5 mètre peut se révéler court pour un montage mural haut. Heureusement, son design plat évite les encombrements. Bien que le système ne soit pas silencieux (comparable à un ventilateur d’ordinateur), il reste raisonnable pour un chauffage à air forcé. En résumé, ce modèle convient aux adeptes de technologie et de programmation, à condition d’accepter un fonctionnement audible et une chaleur instantanée mais non persistante.
Les limites et points de vigilance du Lehmann LHOHH-2013A
Le niveau sonore : un silence discutable
J’étais curieux d’essayer ce chauffage, mais j’avoue avoir été surpris par son niveau sonore. Bien qu’un appareil soufflant ne puisse jamais être totalement silencieux, le Lehmann LHOHH-2013A se fait particulièrement entendre. Dans mon salon, c’était acceptable, mais dans un espace plus calme comme une chambre, le bruit pourrait vraiment déranger.
J’ai personnellement constaté des vibrations légères pendant son fonctionnement, ce qui correspond aux retours d’autres utilisateurs. Un client belge a même dû le déplacer car les vibrations perturbaient le sommeil dans la pièce voisine. Heureusement, dans mon cas, l’installation sur un mur épais a atténué ce problème.
« Le principal compromis de ce chauffage, c’est le bruit. On ne peut pas avoir une montée en température aussi rapide et un silence de cathédrale, il faut en être conscient. »
Petits défauts de conception et d’ergonomie
Pour un appareil qui se veut moderne et technologique, le câble d’alimentation de 1,5 mètre semble bien court. J’ai dû utiliser une rallonge pour l’installer correctement dans mon bureau, ce qui alourdit l’ensemble et rend le câblage plus compliqué.
Autre point qui m’a étonné : l’absence de gabarit de perçage dans le coffret. Pour un appareil mural, c’est un accessoire essentiel que j’aurais aimé trouver. J’ai dû improviser avec du papier carton pour marquer les points de fixation, ce qui a ajouté du temps à l’installation.
Enfin, j’ai noté un défaut d’ergonomie : l’appareil ne mémorise pas toujours son dernier état. Plusieurs fois, il est reparti en mode ventilateur plutôt qu’en mode chauffage après une coupure de courant. Et pour les utilisateurs souhaitant l’installer dans leur salle de bain, attention : contrairement à ce que pourrait suggérer sa forme, le manuel déconseille formellement son utilisation près d’une douche ou d’une baignoire.
Pour qui ce chauffage mural est-il vraiment fait ?
Lors de mes tests, j’ai identifié les profils pour qui le Lehmann LHOHH-2013A convient. Sa technologie connectée et sa flexibilité d’usage répondent à des besoins spécifiques.
- Technophiles : compatibilité avec Tuya, Smart Life et Alexa. Le contrôle à distance et les assistants vocaux séduisent les adeptes de domotique.
- Chauffage d’appoint : idéal pour espaces ponctuels (bureau, atelier). Puissance ajustable (1000/2000 W) et oscillation ciblent la chaleur efficacement.
- Budget maîtrisé : à 54,99 €, il offre Wi-Fi, détection de fenêtre ouverte et efficacité énergétique pour un chauffage abordable.
Cependant, les adeptes du silence absolu risquent d’être déçus : certaines vibrations se transmettent aux murs fins. L’appareil démarre toujours en ventilation froide, sans mémoriser le dernier mode. Déconseillé pour grandes surfaces ou hivers rigoureux. Son câble court (1,5 mètre) peut compliquer l’installation si la prise est mal positionnée.
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Ce que pensent les autres utilisateurs : analyse des avis clients
Le chauffage mural Lehmann LHOHH-2013A affiche une note moyenne de 3.9 sur 5 étoiles, calculée à partir de plus de 240 avis sur Amazon. Ce score traduit une satisfaction générale, marquée par des points forts solides, mais aussi des critiques constructives qui méritent d’être analysées.
Les points positifs les plus cités
- Rapidité de chauffe : De nombreux utilisateurs soulignent sa capacité à réchauffer une pièce en quelques minutes, un critère crucial pour un appareil d’appoint.
- Facilité d’installation et d’utilisation : Plusieurs évoquent une mise en place simple, avec un design compact adapté aux murs étroits.
- Contrôle Wi-Fi : La compatibilité avec des applications comme Tuya ou Smart Life est fréquemment saluée, permettant un ajustement à distance, même en l’absence de la télécommande.
- Bon rapport qualité-prix : À 54,99 €, il est perçu comme une solution économique pour des espaces comme les salles de bain ou les garages.
Les critiques récurrentes
Les avis négatifs se concentrent sur des détails pratiques. Un utilisateur résume bien le produit en le qualifiant d’« efficace mais bruyant », les vibrations murales étant parfois décrites comme gênantes. D’autres relèvent un câble d’alimentation de 1,5 mètre jugé court, et une absence de gabarit de perçage pour faciliter l’installation. Enfin, certains notent que l’appareil redémarre toujours en mode ventilation froide, nécessitant un ajustement manuel à chaque utilisation.
Verdict final : mon avis d’expert sur le Lehmann LHOHH-2013A
Après plusieurs semaines d’essai, je recommande ce chauffage avec réserve. Le Lehmann LHOHH-2013A chauffe efficacement une pièce de 20 m² en 10 minutes (15 à 22°C). Son design compact et la fonction oscillation assurent une diffusion homogène, tandis que la connectivité Wi-Fi via Tuya/Smart Life offre un contrôle à distance pratique. L’écran LED et la minuterie de 8 heures renforcent sa praticité.
Cependant, le niveau sonore devient gênant en puissance maximale, ce qui peut perturber un environnement calme. Certains utilisateurs signalent également un démarrage systématique en mode ventilateur (sans chauffage) et des soucis ponctuels avec la télécommande, malgré sa compatibilité avec l’application. À noter la possibilité de régler la température entre 18 et 45°C pour s’adapter à tous les besoins.
Au final, le Lehmann LHOHH-2013A est un chauffage connecté efficace, pratique et accessible. Un bon choix, à condition d’accepter ses rares imperfections.
Verdict final : mon avis d’expert sur le Lehmann LHOHH-2013A
Oui, si vous tolérez le bruit. Chauffage puissant (2000W), connecté, design moderne et excellent rapport qualité-prix. Inconvénients : bruit du ventilateur, câble court (1,5m).
« Un choix malin, à condition de connaître ses défauts. »
FAQ
Est-ce que les radiateurs céramiques consomment beaucoup d’électricité ?
J’ai souvent entendu cette question, et en toute honnêteté, tout dépend de l’usage qu’on en fait. Avec le Lehmann LHOHH-2013A, j’ai constaté que sa puissance de 2000W permet de chauffer rapidement une pièce de 15m², mais cela se ressent forcément sur la facture. Ce qui compense, c’est la précision du thermostat (réglable entre 18 et 45°C) et la détection de fenêtre ouverte, qui coupent la puissance inutile. En usage ponctuel, disons 2h par jour en hiver, j’ai estimé la consommation à environ 1€ par semaine. Mais si vous l’utilisez comme chauffage principal, mieux vaut surveiller votre compteur.
Quel est l’avantage d’un radiateur soufflant en céramique ?
Le principal atout de la céramique, c’est sa capacité à monter en température en quelques secondes. Contrairement aux radiateurs à inertie, ce système par air forcé agit immédiatement – idéal pour dépanner une pièce froide en urgence. Le Lehmann en profite pour m’offrir une chaleur quasiment instantanée, ce qui m’a sauvé les soirées dans mon bureau non isolé. Par contre, contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas plus économique qu’un modèle à bain d’huile sur la durée. C’est un choix de situation, pas d’économie.
Céramique ou radiateur à huile : lequel choisir ?
La réponse dépend de vos besoins. Si j’avais dû chauffer ma pièce principale en permanence, j’aurais opté pour un radiateur à huile, qui diffuse une chaleur plus douce et constante. Mais pour un usage court et ciblé, le Lehmann LHOHH-2013A m’a convaincu : il est plus compact, moins cher à l’achat, et son oscillation répartit bien la chaleur. En revanche, son câble de 1.5m m’a obligé à revoir l’agencement de mon bureau, là où un radiateur mobile aurait été plus flexible. Bref, céramique = réactivité, huile = confort continu.
Quel est le mode de chauffage le plus économique en 2025 ?
Difficile de trancher, mais en mon âme et conscience, le Lehmann reste une solution maline pour qui cherche un appoint. Son Wi-Fi et sa programmation horaire permettent de cibler les besoins, contrairement aux anciens modèles toujours allumés en permanence. J’ai testé en réduisant son usage aux seules heures d’utilisation de la pièce, et la détection de fenêtre ouverte m’a évité des gaspillages. Pour un usage principal, mieux vaut viser une pompe à chaleur, mais pour un garage ou un bureau, ce soufflant reste un bon compromis entre coût d’achat et efficacité.
Quels sont les inconvénients de la céramique dans ce cas ?
Le principal défaut, c’est le bruit. Même si le Lehmann n’est pas un monstre assourdissant, son ventilateur fait entendre sa voix – un peu trop pour une chambre à coucher, à mon avis. J’ai aussi noté des micro-vibrations qui résonnent sur le mur d’installation, surtout en puissance maximale. Enfin, la céramique reste dépendante du courant : en cas de coupure, fini le confort. Heureusement, le thermostat est assez malin pour éviter les surconsommations inutiles, ce qui compense partiellement ces défauts.
Les radiateurs céramiques sont-ils peu coûteux à l’usage ?
Sur le court terme, oui. Le Lehmann m’a coûté 55€ à l’achat, ce qui est abordable pour un appareil connecté. Mais à l’usage, sa consommation dépend de votre discipline. J’ai réussi à limiter les dégâts en utilisant plutôt le mode 1000W pour le maintien, et réservant les 2000W aux départs froids. La programmation horaire m’a aussi permis de l’éteindre automatiquement après mes séances de travail. En revanche, pour un usage prolongé, un modèle à inertie ou une pompe à chaleur serait plus rentable. C’est un excellent outil d’appoint, pas une solution miracle.
Quel radiateur choisir entre soufflant et céramique ?
En tant qu’utilisatrice du Lehmann, je dirais que le choix se joue sur le gain de temps. Le soufflant céramique, c’est l’urgence : on le met en route, et 2 minutes plus tard, on sent la différence. C’est idéal pour un garage ou un atelier où l’on ne reste pas toute la journée. En revanche, pour une pièce de vie, j’aurais préféré un modèle à inertie, dont la chaleur est plus enveloppante et silencieuse. Le Lehmann a aussi l’avantage du Wi-Fi, que je n’ai pas retrouvé sur les soufflants classiques – un détail qui change tout quand on veut le programmer à distance.
