Franchement, j’aurais jamais pensé tester un jour un complément pour les cheveux. C’était pas du tout dans mes priorités, encore moins à 25 ans. Et pourtant, me voilà aujourd’hui à te parler de Nutrafollic, après l’avoir testé pendant un mois complet, tous les jours, sans zapper une seule prise. Pourquoi ? Parce qu’un matin, en me coiffant vite fait devant le miroir, j’ai vu un petit trou sur le haut de mon crâne. Rien de dramatique, hein, mais assez pour me faire bugger. Je suis descendu direct dans une spirale de zooms sur mes tempes, comparaisons de photos d’il y a un an, discussions gênantes avec ma copine. Et dans cette vibe-là, j’suis tombé sur Nutrafollic de Biovancia.
J’vais pas te mentir, j’étais grave sceptique au début. Un produit censé freiner la chute de cheveux, booster la repousse, renforcer la fibre capillaire… ça sonnait un peu comme les pubs cheloues à 2h du mat. Mais vu que je commence à en avoir marre de voir mes cheveux s’éparpiller un peu partout sauf sur ma tête, je me suis dit : vas-y Max, tente. Je l’ai pris comme une sorte de test terrain, comme je fais pour tous les produits dont je parle sur drogbox.fr. Sauf que là, ça me concernait perso, dans ma chair (ou plutôt dans mon cuir chevelu).
Avant Nutrafollic : état d’esprit, cheveux en galère et parano permanente
Avant de commencer le test, je vivais dans une espèce de parano douce. Pas une calvitie massive, non, mais ce truc insidieux où t’as l’impression que ta brosse contient la moitié de ta tignasse à chaque passage. J’ai un cuir chevelu un peu gras de base, des pellicules qui se pointent à l’improviste, et depuis quelques mois, des tempes qui reculent en mode ninja. J’suis pas chauve, mais j’commençais à me sentir comme si mes cheveux préparaient leur retraite.
Physiquement, j’étais pas au top non plus. Un peu de fatigue, un stress latent (merci les deadlines, le métro, les trucs à gérer dans ma vie pro), et clairement, une hygiène de vie pas optimale. Je mange pas dégueu, mais je saute des repas, je dors mal, je bois trop de café, je zappe souvent le sport… Bref, pas le terrain le plus fertile pour avoir une crinière en bonne santé. Et je le savais.
Mentalement, j’étais dans une phase où j’avais envie de reprendre un peu le contrôle. Pas de gros changement, juste quelques ajustements. Et tester Nutrafollic, dans ma tête, c’était une façon d’ouvrir une nouvelle porte. Un peu comme quand tu te mets au sport en te disant « on verra bien », sauf que là, c’était mes cheveux qui allaient au front.
Premier contact avec Nutrafollic : entre curiosité et méfiance
Quand j’ai reçu la boîte, j’ai pris le temps de tout décortiquer. Déformation pro, je lis toujours les étiquettes à fond. Le packaging est sobre, pas tape-à-l’œil, plutôt rassurant dans le genre labo sérieux. Les gélules sont grosses, mais faciles à avaler. Pas d’odeur bizarre, pas de goût chelou dans la bouche après coup, ce qui est déjà un bon point. Je déteste les compléments qui te filent une haleine de poubelle à 9h du matin.
La composition, franchement, elle m’a parlé. On y trouve de la roquette, du myo-inositol, du zinc, de la prêle des champs, de la vitamine B8 (biotine), et quelques autres ingrédients classiques qu’on retrouve souvent dans les produits capillaires. Mais ce qui m’a intrigué, c’est la synergie annoncée entre ces composants. D’après la fiche, c’est censé agir à plusieurs niveaux : renforcer le cheveu, stimuler la repousse, freiner la chute, nourrir le cuir chevelu… C’est ambitieux. Et moi, à ce moment-là, j’étais un mélange entre “vas-y ça coûte rien d’essayer” et “de toute façon ça marchera pas”.
Je l’ai intégré direct à ma routine du matin. Un verre d’eau, deux gélules à jeun, juste après m’être lavé le visage. Au début, je faisais ça un peu machinalement, sans trop y croire. Mais j’ai tenu le cap tous les jours.
Nutrafollic avis – Les premiers jours : rien de dingue, mais je m’accroche
Spoiler : les 3-4 premiers jours, j’ai rien ressenti. Zéro effet, ni bon ni mauvais. Juste une routine en plus. Par contre, ce que j’ai remarqué assez vite, c’est que j’avais moins de démangeaisons au niveau du cuir chevelu. J’sais pas si c’était dans ma tête ou pas, mais dès la première semaine, j’ai eu l’impression que mes cheveux étaient un peu moins gras. D’habitude, le troisième jour sans shampoing, c’est freestyle. Là, ça tenait un peu mieux. Ça m’a fait tiquer.
Côté moral, j’étais toujours aussi sceptique. Je me regardais beaucoup dans le miroir, je cherchais des signes de repousse, je tirais mes mèches pour voir si elles étaient plus épaisses… Le genre de manies reloues que t’oses pas trop avouer mais que tu fais quand même. J’ai eu aussi des doutes. Est-ce que je me faisais des films ? Est-ce que je devenais parano ? Est-ce que Nutrafollic allait vraiment servir à quelque chose ou est-ce que j’étais juste tombé dans le piège du marketing bien ficelé ?
Un soir, à l’apéro, j’en ai parlé à un pote qui bosse dans la pharma. Il m’a dit : “Les cheveux, c’est comme une plante, mec. Tu peux pas voir les résultats en deux jours. Faut du temps, de la régularité, et un terrain pas pourri.” Ça m’a remis les idées en place.
Deuxième semaine : premiers effets ? Je commence à y croire
C’est autour du 10e ou 12e jour que j’ai commencé à voir un vrai petit truc. Alors oui, c’est subtil, mais j’ai eu la sensation que mes cheveux avaient un peu plus de “tenue”. Moins mous, moins ternes, plus denses quand je passais la main dedans. Ma copine m’a même balancé un “T’as changé de shampoing ?” ce qui m’a bien fait marrer. Parce que non, j’avais rien changé. Juste ajouté deux gélules tous les matins.
J’ai aussi remarqué que je perdais un peu moins de cheveux sous la douche. Bon, y’avait toujours quelques poils sur le carrelage, mais moins qu’avant. Et surtout, ça me stressait moins. Peut-être parce que j’avais l’impression de faire quelque chose, d’agir, même un petit peu. Et ça, rien que pour ça, Nutrafollic commençait déjà à avoir un impact.
Mon sommeil s’est aussi un peu amélioré. Coïncidence ou pas ? Aucune idée. Mais je dormais un chouïa mieux, je me réveillais moins crevé. Je sais que certains ingrédients comme la biotine ou le zinc peuvent jouer indirectement sur l’équilibre nerveux. Et vu que j’étais plus détendu, forcément, mon niveau de stress quotidien est un peu descendu. C’est pas un anxiolytique non plus, mais dans mon cas, ça a peut-être joué en faveur de mon cuir chevelu.
Troisième semaine : ça se confirme, et je commence à kiffer
C’est vers la fin de la troisième semaine que j’ai senti un vrai shift. Déjà, j’ai arrêté de me regarder le crâne tous les matins comme un maniaque. J’étais plus détendu, plus confiant. Mes cheveux semblaient plus forts, moins fragiles quand je les coiffais. Les tempes qui me stressaient tant au début paraissaient légèrement moins dégarnies. Attention, j’dis pas que j’ai retrouvé ma tignasse de mes 18 ans, mais visuellement, y’avait un petit mieux.
J’ai continué à en parler autour de moi, surtout à mes potes mecs. Et là, surprise : plusieurs m’ont confié qu’eux aussi flippaient de perdre leurs cheveux, qu’ils avaient testé des trucs parfois chelous achetés sur des sites obscurs, sans jamais oser en parler. Un pote m’a même dit qu’il allait commander Nutrafollic juste parce qu’il voyait que j’étais plus “relax” avec mes cheveux. Comme quoi, y’a aussi un effet psychologique dans tout ça.
Au niveau de ma routine, rien de changé. Toujours deux gélules le matin, à jeun. Aucun effet secondaire à signaler. Pas de nausées, pas de maux de tête, pas de troubles digestifs. Et ça, c’est important, parce que j’ai testé d’autres compléments par le passé qui me retournaient le ventre.
Nutrafollic avis – Ce que j’ai vraiment pensé du produit
J’vais pas te mentir : j’étais chaud pour démonter ce genre de produit à la base. Mais j’ai été bluffé. Pas par une repousse miraculeuse en trois semaines, soyons clairs, mais par une amélioration globale de la qualité de mes cheveux et surtout, de mon rapport à eux. Nutrafollic, ça m’a pas rendu chevelu comme un Viking, mais ça m’a donné une sensation de reprise en main, de soin, de cohérence.
Est-ce que ça aurait eu autant d’effet si j’avais pas en parallèle rééquilibré un peu mon hygiène de vie ? J’ai mangé un peu mieux, bu un peu moins, dormi un peu plus. Difficile de dire ce qui vient de quoi. Mais dans l’ensemble, y’a une dynamique positive qui s’est mise en place. Et Nutrafollic y a clairement participé.
J’ai aussi aimé le fait que ça soit simple à prendre, sans goût dégueu, sans effet secondaire. Et comparé à certains produits que j’ai testés qui coûtent une blinde et font zéro effet, celui-là tient quand même un peu ses promesses.
Est-ce que je recommande Nutrafollic ? Oui, mais pas à tout le monde
Si t’as 22 ans, une tignasse épaisse, et que tu stresses juste parce que t’as vu deux cheveux dans ton lavabo, non, ce produit est pas fait pour toi. Mais si t’as des signes de début de perte, des cheveux affaiblis, une fibre terne, et que tu veux tester un complément clean, sans danger, alors ouais, Nutrafollic peut valoir le coup. Faut être régulier, patient, et pas attendre un miracle.
À un pote, je dirais : “Teste au moins un mois. Si tu sens que ça bouge, continue trois mois. Sinon, passe à autre chose. Mais dans tous les cas, ça peut pas te faire de mal.” Parce qu’au fond, c’est un soin de fond, pas un traitement choc.
Et puis, perso, je préfère prendre deux gélules le matin pendant un mois que me tartiner le crâne de lotions collantes ou me taper une greffe à 30 piges.
Conclusion : ce que je ferais différemment et mon bilan
Si je devais recommencer, je ferais les choses encore plus sérieusement. Je prendrais des photos avant/après. Je mesurerais peut-être la densité capillaire avec une appli. Je tiendrais un vrai journal de bord capillaire. Parce que mine de rien, les effets sont subtils au début, et si t’as pas un minimum de suivi, tu peux passer à côté.
Est-ce que je vais continuer ? Oui. Je vais faire une deuxième cure de deux mois pour voir si les effets se confirment ou s’amplifient. Et peut-être que j’en parlerai encore sur le blog, avec plus de recul.
En tout cas, Nutrafollic m’a pas transformé, mais il m’a fait du bien. À mes cheveux, à ma tête, à ma confiance. Et rien que pour ça, ça valait le test.
Nutrafollic – Fiche info :
Ingrédients clés : roquette, myo-inositol, zinc, vitamine B8 (biotine), prêle des champs
Effets annoncés : stimulation de la croissance, fortification des cheveux, freinage de la chute
Posologie réelle : 2 gélules par jour, de préférence le matin à jeun
Prix / durée : environ 69€ par mois (une boîte = un mois)
Fabricant / origine : Biovancia, laboratoire français
Cible du produit : hommes et femmes adultes, perte de cheveux modérée, prévention capillaire